Pour moi peindre est presque comme respirer …
une nécessité et
… un énorme plaisir! J’espère que cela se ressent!
Les images jaillissent du profond et veulent tout
simplement naîtrent.
Mes peintures sont des poésies visuelles, des peintures poétiques
car elles sont du même monde intérieur que mes poémes, deux
moyens d’expressions complémentaires.
OU alors, ce sont des instantanés jaillisant de l’inconscients, jettés
sur la toile, d’un jet juste immédiat. Ceci est surtout les cas pour
l’acrylique et l’encre de Chine. Un vrai BONHEUR!
Il n’y a pas d’heure pour laisser éclore et faire fructifier ses dons et talents, quels qu’ils soient!
L’huile s’est définitivement imposée dès mai 2009. Elle permet tout, elles est une matière vivante, une pâte faite de pierres semi-précieuses, de résines et autres matières naturelles, elle est onctueuse, riche. On peut l’employée brut, du tube, la laisser sécher et peindre par dessus, la diluer, la laisser couler, en faire des couches superposées, tant de choses!
L’huile c’est aussi du travail, il faut savoir, il faut oser s’en approcher et une fois fait l’abordage soit on abandonne ou alors on s’y perd!!! Actuellement on y revient aprés avoir tâté ailleurs, on y revient car c’est cela ÊTRE UN PEINTRE, un vrai; du moins c’est mon avis et cela est bien prouvé car les peintres, les artises qui durent peigent à l’huile.
Voilà, j’y suis arrivée, à l’huile et j’en jouis! C’est cher, c’est du travail mais quelle satisfaction! Je ne dessine pas à l’avance mais je m’y jette, dedans! Je peins rapidement mais uniquement quand l’inspiration est là, a mûrit à l’intérieur et veut sortir; je ressens une anxiété, une urgence en moi de peindre. Parfois, j’ai une vague idée préconçue qui se développe au fur et à mesure, parfois il n’y a que ce « Must » de peindre et c’est un instantané poétique, ou géométrique qui naît ou alors une peinture « Empreintes » lorsque le corps veut s’exprimer. Les techniques s’imposent d’elles-même, sont évidentes. Pour peindre une tendre patience, par exemple, il faut laisser couler la peinture,Pour un sentiment très fort c’est le tube ou la spatule. Il faut avoir confiance!
« laisser faire la matière » comme dit Soulage « car elle sait, nous ne pouvons que la maîtriser »
.
« Quand l’esprit ne guide pas la main, il n’y a pas d’art » Léonard da Vinci
Mes huiles surtout sont des peintures poétiques comme sont mes poèmes des poémes imagés. L’un étant compémentaire de l’autre. du même monde. Pas systémagtiquement pas souvent. Je ne me lasserai pas de l’huile même si l’aquarelle est quelque chose de très joli, léger et charmant qui n’est pas du tout simple. Je donne d’ailleurs quelques cours d’aquarelle et j’aime beaucoup.
Les pastels furent la première représentation concrète, avant la mise en mot encore impossible, des souffrances et aspirations d’un cœur, d’une âme et de l’esprit. Le lent début d’une guérison après le débat avec la souffrance et la douleur. Les premières confrontations à cette force que sont le désir, l’amour, les sentiments et les émotions qui semblaient encore impossibles. J’ai peint avec mon âme, mon coeur et mes tripes en laissant jaillir ce qui venait du plus profond. Ce sont pour ainsi dire des créations intuitives taduites par directemetn par les mains, représentant les mêmes thèmes que mes premiers poèmes, sous formes visuelles par les symboles qui se sont imposés d’eux-mêmes: le coeur, l’esprit, l’âme entre autres.
Les aquarelles sont la suite de ce que le passé a engendré. C’est maintenant un travail dans la légèreté, la transparence, la rapidité de l’exécution, la joie des couleurs finesm, la maîtrise de la fluidité. Elles expriment la rencontre avec l’autre, l’amour et l’être femme à nouveau.Souvent elles sont accompagnées ou précèdent une poésie. Ce sont des instantanés de la nature, des nus artistiques qui naissent d’eux-même, tout en courbes et en douceur, des images de la féminité souvent coquines, comme je la vois dans ses multiples facettes. Ce sont aussi des flashs du moment, des scènes représentant les diverses facettes de l’amour comme aussi des abstraits ayant un sens inhérent remontant du profond que le pinceau vient chercher afin de les étaler sur le papier. Parfois aussi des scènes de villes hyperrealiste et travaillées à l’extrême ou alors des expressions d’émotions, de sensations jiclées sur le papier. C’est le plaisir de laisser couler tout en maîtrisant l’élément liquide, les couleurs, les vides et blancs dans ces compositions libres qui reposent du style hyperréaliste travaillé.
Il y a aussi les gouaches, gouaches et aquarelles mixtes, d’expression spontanée, dont le choix des couleurs vives est essentiel. C’est le plaisir de la peinture brute, de la couleur étalée à la spatule ou directement du tube. La joie pure de peindre.
Toujours aller plus loin, creuser l’expressivité grâce au moyen qui s’y prête le mieux afin de laisser sortir ce qui vient, ce qui veut nâitre selon mon envie du moment, mon intuition souvent parfaitement inconsciente.
Les techniques personnelles sont au service de
l’expression.
Le pinceau traduit la spontanéité de l’intuition.
Les couleurs s’imposent comme une évidence
PAR -DELẦ
(extrait d’un de mes poèmes)
Par-delà les différences
nous nous retrouvons dans notre essence.
Par touches légères, assurées,
nous nous peignons des aquarelles
de couleurs mouvantes,
trempons nos pinceaux dans l’eau d’amour
laissant couler sur nos papiers des teintes contrastées
en toute liberté sans ébauches dessinées
Nos différences se lisibles s’entre-fondent,
……
s’infiltrant, se confondant, se fondant
encore en une image inattendue
dans l’eau d’amour respectant les préférences,
peignant un lien d’une harmonie surprenante.
Par-delà les différences nos aquarelles sont belles
.
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Consultez mon blog pour plus de poèmes: www.lune-de-suchet.com
Droits d’auteur; ProLitteris SSA.
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